mercredi 23 novembre 2016

Critique de livre n°2

Peuple de la planète Terre,

    Je l'ai enfin fini; Carnets noirs, de Stephen King.

       En prenant sa retraite, John Rothstein a plongé dans le désespoir les millions de lecteurs
    des aventures de Jimmy Gold. Rendu fou de rage par la disparition de son héros favori, 
    Morris Bellamy assassine le vieil écrivain pour s’emparer de sa fortune, mais surtout, de
    ses précieux carnets de notes. Le bonheur dans le crime ? C’est compter sans les
    mauvais tours du destin… et la perspicacité du détective Bill Hodges.
 
    Après Misery, King renoue avec un de ses thèmes de prédilection : l’obsession d’un fan.   
    Dans ce formidable roman noir où l’on retrouve les protagonistes de Mr. Mercedes (prix 
    Edgar 2015), il rend un superbe hommage au pouvoir de la fiction, capable de susciter 
    chez le lecteur le meilleur… ou le pire. _Source: dernière de couverture. 

Je ne vais pas mentir, ce livre était mon tout premier Stephen King. Je voulais être sûre d'aimer son style (est-ce possible de ne pas aimer?) avant de commencer "Shining", dont le film est une pure merveille. Bref, "Carnets noirs". 
En cours de lecture, j'ai souvent défini ce livre comme le genre de bouquin qu'on adore, mais dans laquelle on arrive pas a avancer. J'ai ADORÉ ce roman, vraiment, mais à chaque fois que je me replongeais dans l'histoire et que j'avais vraiment eu l'impression d'avoir vraiment fait un pas en avant dans l'histoire, et bien je n'avais lu que quelques pages. Même si c'était vraiment pas mal, j'ai donc mis un mois à le lire, en le lisant activement.
On peut dire qu'il y a au début beaucoup de personnage et d'histoires en parallèle, mais au final la fi est tellement bien qu'on fait vite abstraction pour se laisser porter par cette oeuvre. 
À chaque fois que je passais d'un autre point de vue, j'avais l'impression de m'attacher au personnage en cause, même les pires ordures, est-ce normal?. C'était vraiment agréable. 


Et maintenant, je sais ce que vaut King: il vaut vraiment BEAUCOUP. 

À La prochaine éclipse, 
une fille qui dérange.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire